[#Psycho] Éducation positive, attention, ça va trancher chérie !

Oui oui, petite anecdote à la cité de la peur, car j’avais envie d’un titre choc pour un sujet choc. Depuis quelques semaines, j’ai pas mal discuté avec mes amis bloggeurs/gueuses et des adultes durant mes sorties et j’avais envie de donner mon avis et mon approche.

C’est l’intérêt d’avoir un blog, on peut dire absolument ce qu’on veut sur n’importe quel sujet sans trop se faire juger par autrui et pouvoir débattre sans avoir la population d’internet entière sur le pif.

Bref, cela fait maintenant quelques années que l’on entend partout (télévision, articles, forums, crèche …) de l’éducation bienveillante/positive à toutes les sauces et après avoir lu cet excellent article acide sur l’éducation positive, jamais envie d’en faire un aussi moins acide.

A lire, attention c’est acide et long : Mais que fait l’éducation positive ?

C’est sympa de voir que les médias et le web s’emparent du sujet afin de le partager avec le plus grand nombre. Mais comme dans beaucoup des cas, ça copie/colle à tout-va, ça applique sans réfléchir, ça veut passer pour la mère parfaite et ça remue des montagnes de sables sans vraiment comprendre les nuances (désolé mais quand Le Point poste un article la dessus, ça me fait bien rire, ça serait comme un pâtissier qui donne son avis sur un carpaccio au fromage).

L’éducation positive, pour beaucoup sur le web, c’est « On explique à son enfant, on l’écoute dans ses besoins » et on rentre à la maison en catastrophe quand ça crie dans le supermarché car on arrive plus à assumer la crise (et on a pas envie qu’on se prenne le regard des autres avec notre super éducation bonbon rose sans faille qu’on a lu dans le livre XXX ou l’article YYYY).

En premier, j’irai droit au but. C’est cool et je dis bravo qu’enfin les enfants soient au centre et soient enfin considérés non pas comme des trucs qui puent/hurlent/babillent mais que l’enfant soit enfin au cœur des préoccupations, que l’on s’intéresse à son développement.

Bref, qu’on l’écoute.

ENFIN, on comprend qu’un enfant de 2 ans qui pleure ne fait pas un caprice car son cerveau ne le permet pas donc on arrête de râler.

ENFIN on comprend qu’un enfant de 2 ans qui s’agite dans un supermarché, c’est normal, car un enfant s’ennuie TOUJOURS après 10 minutes d’activités cérébrales.

ENFIN on arrive à saisir que faire ranger un enfant de 2 ans, c’est totalement stupide et que lui coller 2 tartes ne le fera pas plus évoluer ou faire comprendre pourquoi.

Ce qui me frustre, ce sont deux catégories de personnes.

Il y a ceux qui te font la morale sur l’éducation positive dans les parcs et qui passent leurs temps à appeler leurs mômes pour lui dire « arrêtes julien, la balançoire c’est pas qu’a toi » ou « Fais pas ça julien », « laisses la balle, elle est pas à toi » ou bien le parent qui te parle de Montessori et qui te dit qu’il est épuisé d’entendre ses mômes crier à tout va le soir en rentrant.

Et il y a ceux qui vont te parler de leurs bambins comme des semis dieux et qui osent te dire « Moi le mien il fait pipi dans le pot depuis ses 1 ans et demi » alors que l’acquisition du contrôle des sphincters ne se fait que vers 2 ans minimum.

Il y a aussi les parents qui te montrent les superbes chambres toute belle en criant MERCI DÉESSE MONTESSORI mais qui oublient de poster sur leurs blog que chaque jour il faut 20 minutes à ranger, 40 minutes à expliquer que le jouet en bois ça va pas dans les toilettes et que les crottes du chat ce n’est pas de la pâte à modeler et que pour prendre la photo, il a fallut attendre que bébé ait fini de démonter la lampe de chevet qui n’a pas sa place dans la chambre d’un bébé.

Pour revenir à l’éducation positive, c’est une ligne directrice que je trouve excellente, à condition qu’elle ne soit pas prise au pied de la lettre et que les parents comprennent que faire que du positif, ce n’est pas suffisant.

Hésitez pas à lire après : La Suède est-elle en train de créer une génération de petits cons?

…Le problème, c’est que la Suède pourrait aussi être en train de former une génération de petits cons prétentieux, instables et aux tendances dépressives. C’est résumer de manière à peine grossière les propos tenus par Judith Woods sur le site du Telegraph. La journaliste vient en effet de mettre un coup de canif rageur dans le tableau idyllique de l’éducation à la suédoise.

Je m’égare, mais pas tant que ça. L’éducation positive, mesdames et pas beaucoup de monsieur, c’est avant tout comprendre que c’est pas faire du « Au pays de Candy » à la maison mais de comprendre que cela s’associe avec des règles, des limites et que faire du positive tout le temps, cela n’aidera pas nos enfants sur le long terme.

Les mauvais cotés

Si on réfléchit bien et calmement, on arrive à voir les mauvais cotés de faire que du positif tout le temps.

En premier, c’est la vie dedans et dehors. Si on apprend à nos enfants à la maison à être que positif, que se passera t’il quand il sera confronté à des personnes ou à des situations complexes et autoritaire ? Et bien, il sera perdu et en manque de repères.

Que retiendra l’enfant quand il découvrira que la vie est rude quelques fois ? Que les choix autour de lui ne lui appartient pas ? Qu’il faut batailler, trouver un moyen détourné pour obtenir ce qu’il souhaite ? Se sentira-t-il à l’aise pour faire des choix s’il a systématiquement peur des conséquences ?

En deuxième qui me vient à l’esprit, c’est l’ultra autonomie. À trop vouloir laisser faire nos enfants à faire leurs gâteaux, leurs envies, que se passera t’il quand ils seront confrontés à des situations où ils doivent écouter et agir sans s’exprimer ? Quand ils arrivent dans un groupe ou un enfant est enfant roi et lance sa dictature à tout-va ? Votre petit ange va se retrouver écarté du groupe et se retrouver seul car il ne trouvera pas de copains ayant la même vision que lui ou tout se gère de façon positive.

Selon une interview de 20 minutes : « Il semblerait que les enfants élevés de cette manière aient davantage de risques d’être harcelés à l’école. Car ils n’ont pas l’habitude de se venger et ne savent pas toujours comment se défendre face à leurs agresseurs« , indique Isabelle Filliozat.

Je suis à moitié d’accord sur cette phrase. Selon le caractère de l’enfant, il se peut qu’un enfant trop doux et mielleux se fasse vite mangé par un agresseur dans la cour de récré, car il n’aura pas les billes pour se défendre. Par contre pour un enfant qui a un peu de caractère et une notion du retrait du conflit, il se peut que les attaques de son agresseur ne fasse pas mouche et que ce dit agresseur, se lasse voyant que cela ne cause aucun impact. Donc, oui, il faut faire attention à cette notion de gestion des conflits.

Candy, ce n’est pas ici. Ben oui, faire du positif tout le temps en laissant son gamin de 3 ans sortir avec son slip au-dessus de son pantalon « car il trouve ça cool » ou alors laisser notre petite fille de 2 ans coller ses chaussures sales dans sa chambre car c’est plutôt « pratique pour elle et c’est son autonomie » et bien cela n’amène rien de bon dans la vie réel.

Il faut faire du positif, mais du positif intelligent. Il y a donc un autre courant de pensée qu’on parle peu, c’est celui de la discipline positive.

La discipline positive

La Discipline Positive est une pédagogie éducative qui respecte les besoins de l’enfant et aussi de l’adulte. Ni laxiste, ni autoritaire, elle se base sur le juste milieu entre fermeté et bienveillance. En discipline positive, on n’utilise ni cri, ni punition, ni menace, ni chantage, ni récompense pour se faire obéir.

On n’en a plus besoin car on va obtenir la coopération de l’enfant. Cette méthode éducative a été développée dans leurs atelier par Lynn Lott et Jane Nelsen depuis les années 1970 sur la base des travaux d’Alfred Adler.

Elle a été introduite en France par la psychologue Beatrice Sabate, fondatrice de l’association française de Discipline Positive. Aujourd’hui, à la maison comme en classe, elle est un formidable outil de l’éducation positive pour apaiser les relations.

Cinq critères pour une discipline efficace

  • Aider les enfants à avoir le sentiment d’être connectés et développer le sentiment d’appartenance et d’importance.
  • Se baser sur le respect mutuel et l’encouragement avec à la fois bienveillance et fermeté.
  • Etre efficace à long terme.
  • Enseigner des compétences sociales et des compétences de vie importantes : Le respect, l’attention aux autres, la résolution de problèmes et la coopération ainsi que la capacité à participer à la vie de la famille, de l’école ou de la communauté au sens large.
  • Inviter les enfants à découvrir leurs capacités et développer ainsi leur autonomie et leur estime de soi.

Pas de punitions mais des sanctions

Les punitions sont ainsi mises de côté car selon Jane Nelsen, elles sont uniquement efficaces à court terme, contrairement aux sanctions qui donnent un sens des responsabilités et du respect des règles. Cette méthode s’appuie sur l’écoute des émotions, l’expression des besoins, la gestion des conflits sans gagnant ni perdant et la coopération.

L’expérience de la conséquence naturelle ou sanctions naturelle offre d’excellentes opportunités d’apprentissage à l’enfant.

Une conséquence est une façon d’expliquer à l’enfant :

  • Un choix (soit tu arrêtes de lancer ton jouet , soit tu me le donnes),
  • Des demandes fermes et bienveillantes (quand tu lances ton jouet, tu risques de le casser, cela fait du bruit et on a besoin de s’entendre pour se parler),
  • Une réflexion (que se passera t’il quand ton jouet sera cassé ? Est ce que tu ne seras pas triste s’il est cassé ?).

Dans le cas ou quelque chose arrive, la conséquence ne sera pas vécue comme une injustice car elle est accessible et comprise. C’est là que réside la différence entre punition et conséquence. L’objectif est bien de trouver une solution avec l’enfant et non pas de se venger en infligeant une souffrance.

Comment faire à la maison

On a bien compris, la discipline positive se base sur un ensemble de choses. Être positif, expliqué les conséquences à l’enfant, le faire réfléchir sur ses actions et lui permettre par lui-même de prendre des décisions sur ses actes.

Quand il y a un trop-plein d’émotions, il faut que l’enfant comprenne qu’il a des alternatives. Mettre en place un espace de calme pour qu’il aille se calmer ou bien lui fournir un objet à colère, une boite aux lettres pour aller s’exprimer ou bien un conseil de famille pour expliquer les choses est une approche positive sans pour autant être dictatorial.

Pour que la transgression et ses conséquences deviennent une occasion de progrès, Elisabeth Maheu propose, un triple accompagnement :

Obligation de réparation

Votre enfant vient de renverser son verre d’eau ? Demandez-lui de venir vous aider à éponger l’eau sur le sol. Cette réparation le sensibilise sur son acte, ne le punit pas, se voit aider par ses parents et comprend que ses choix ont des conséquences.

Rappel de la règle

La première chose, c’est de se demander, avait t’il bien comprit les règles ? Avez-vous bien précisé ce qu’on attendait de lui ? Il faut savoir se remettre en cause et se demander si cela ne vient pas de nous, mais aussi de lui, car peut-être est-il trop petit pour comprendre ce qu’on attendait de lui. Si l’acte ou l’erreur était simple, il serait important de rappeler encore et encore les règles afin qu’elles soient comprises. C’est par la répétition que l’enfant va comprendre l’importance.

On en parle

Il s’agit ensuite de mettre des mots sur ses intentions, motifs, malaises, souffrances ou besoins non satisfaits qui ont entraîné la “bêtise”. L’enfant doit pouvoir comprendre le pourquoi et le choix qu’il a fait, il va donc pouvoir s’exprimer et montrer qu’il comprend qu’on l’écoute et à devenir acteur de sa propre vie.

  • Pourquoi tu as renversé ton verre ?
    • Il était trop lourd
  • Pourtant je t’ai dit de faire attention
    • Oui mais je regardais ailleurs
  • Nous allons essuyer ensemble ce qu’il y a par terre, la prochaine fois, je mettrais moins d’eau et tu repenseras à ce qu’il s’est passé. Tu comprends ?
    • Oui, la prochaine fois, je ferais attention

Pourquoi refuse-t-il d’obéir?

Les jeunes enfants sont motivés, et ceci toujours, par le plaisir, c’est pourquoi ils font ce qu’ils ont envies de faire.

De 0 à 2 ans

Le tout-petit peut refuser d’arrêter ce qu’il fait ou ce qu’on lui demande car il veut la répéter encore et encore afin de perfectionner de nouvelles habiletés mais aussi car il a une certaine jouissance de pouvoir réussir quelque chose par lui-même. 

Exemple : imaginez que je vous apprends à faire des ricochets et au moment ou vous réussissez à en faire 2, je vous arrête d’un coup sec. Vous allez être frustré et vouloir retenter encore pour savoir si vous pouvez en faire 3, mais votre coté adulte va analyser et comprendre que vous allez pouvoir le faire une autre fois.

C’est la même chose chez l’enfant, il réussit quelque chose qu’il tente, on le coupe dans sa jouissance de réussite, mais il n’a pas la notion de savoir qu’il peut le refaire dans 1 heure ou bien plut tard. Pour lui, cette réussite est unique et son cerveau pense qu’il n’aura plus la chance de le reproduire encore.

De 2 ans à 3 ans

L’enfant commence à comprendre les consignes simples, mais il a besoin de la présence d’un adulte pour les respecter, car il est dans sa phase d’opposition et il veut vérifier si sa conduite est celle qui est attendue. Il peut aussi ne pas écouter ses parents pour voir s’il est vraiment surveillé. Il est en pleine phase d’autonomie, rentre dans la phase du « JE », prend conscience qu’il a des pouvoirs sur ce qui l’entoure et la notion d’affirmation intervient. Cette phase, très peu connue et très souvent appelée le « Terrible Two » ou aussi appelé ailleurs les « Temper tantrums » est une phase très complexe ou l’on doit aussi se remettre en cause uniquement pendant cette période. C’est une phase extrêmement difficile pour l’enfant et les parents (voir références sur le terrible two en fin d’article, je ferais un poste plus tard plus approfondi sur ce sujet).

Malgré ce besoin d’affirmation et d’autonomie, votre enfant a besoin de limites claires.

Cette phase de 2 à 3 ans est aussi appelée la « petite adolescence » ou « première adolescence », il teste d’ailleurs quotidiennement les règles et les limites de ses parents. Et surtout, il vérifie si ces derniers appliquent les conséquences annoncées.

De 3 ans à 5 ans

L’enfant comprend la plupart des consignes simples et de plus en plus de consignes doubles par contre il est toujours dirigé par ses plaisirs et ses pulsions et arrive à sa phase œdipienne qui n’aide pas non plus. En même temps, il est dans sa période cérébrale de l’imaginaire donc personne n’aime qu’on vienne nous embêter pendant qu’on s’invente une belle histoire.

Cela vous plairait que votre boss arrive pendant votre pause-café et vous donne des consignes à faire dans la journée pendant que vous repensez au bel inconnu rencontré ce matin dans le métro alors que vous l’imaginez en tenu sexy sur la plage ?

La technique du 1-2-3 (et pas soleil)

J’ai toujours eu recours à cette technique qui fonctionne très bien pour l’avoir testé sur pas mal d’enfants. Un enfant à besoin de règles, il a besoin de comprendre les limites mais, il doit aussi savoir ce qu’il se passe s’il franchit le cap.

La technique est simple :

  1. Vous énoncez ce que vous allez faire, ce que vous attendez de lui et les conséquences et que vous n’allez pas le répéter 3 fois
  2. A la première fois, vous vous approchez de votre enfant, vous vous placez à sa hauteur et lui dites « Première fois, je t’ai explique ce que j’attends de toi » avec un ton calme
  3. A la deuxième fois, idem que précédemment sauf que le ton de la voix doit être plus stricte
  4. A la troisième fois, la sentence tombe avec l’explication du pourquoi mais SANS crier, il n’est pas bête, il connaissait les règles.

Cette technique est très efficace si vous savez donner le ton, que vous respectez vos engagements et une fois que l’enfant comprend qu’il ne faut pas dévier, ensuite, il sera très simple de dire « On va faire ceci, je compte sur toi, je ne me répète pas 3 fois, as tu compris ? »

Conclusion

Pour ou contre l’éducation positive ? Oui et non, il y a du bon et du mauvais. Il y a surtout beaucoup de mauvais sur le web, car vous ne voyez que les supers articles rose bonbon ainsi que les donneurs de leçons qui ne donnent pas réellement la version des faits. Un trop-plein de mamans à l’américaine comme dans les séries ou les maisons sont rangées au millimètre près et ou les mamans se baladent avec des habits sans aucun pli et des enfants sans un cheveu qui dépasse de la coiffure

Exemple cette photo, famille parfaite, enfant parfait, chaussette du garçon dans l’herbe sans aucune tache, les enfants en blanc tout propre.

Ça fait pas penser à une famille positive ça ? hein ?

Beaucoup des articles ne prennent pas en compte le développement médical, psychologique ou biologique de l’enfant et encore moins le caractère différent des enfants, le moment ou les choses ont lieu et notre état d’esprit du moment.

Ne cherchez pas à faire des enfants aux couleurs rose et goût Tagada. Préparez les aussi à ce qui se passe dehors. Comprenez qu’il faut être aussi ferme, sans être négatif et comprendre que des moments difficiles, il en vivra sans que vous soyez présent.

Le plus important et que l’on oublie de lire dans les articles et les livres (et pourtant que l’on voit quand on regarde les Super Nanny) c’est la voix.

La voix est un des piliers de l’éducation. 

Savoir moduler sa voix, changer le timbre, savoir monter le ton sans crier et mettre en place des alternatives à la voix est une chose à travailler surtout pour les mamans. Mon ex compagne me disait souvent « Oui, mais avec toi, c’est plus facile, tu es le père et avec ta voix grave, ça passe mieux » donc oui, c’est vrai, c’est plus facile pour les papas, mais vous savez aussi vous les mamans changer de voix quand vous voulez adoucir le banquier ou bien lever le ton quand votre meilleure amie vous rend pas votre rouge à lèvres.

Alors vous savez le faire, faites le 🙂

Une réaction, un coup de gueule, n’hésitez pas, c’est en débattant qu’on arrive à faire avancer les choses

Références

Développement moteur chez l’enfant : https://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/articles_pdf/dev_moteur.pdf

Enquête acide sur l’éducation positive et excellent : Mais que fait l’éducation positive ?

Tout savoir sur Lynn Lott : https://www.disciplinepositive.fr/?page_id=2068

Excellente page sur Jane Nelsen : https://papapositive.fr/discipline-positive-de-jane-nelsen/

Article interessant sur les mefaits : https://www.coolparentsmakehappkids.com/prejuges-education-positive/

Un autre article assez brut sur les mefaits de l’education positive : https://shivamama.fr/le-jour-ou-la-parentalite-positive-ma-gonflee/

Le site le plus connu de la discipline positive : https://www.disciplinepositive.fr/?page_id=1520

Sanctionner sans punir : http://pedagopsy.eu/livre_sanctionner_punir.html

Terrible Two

Bon article de Cool Parents Make Happy Kids : https://www.coolparentsmakehappykids.com/crise-deux-ans-reagir-sereinement/

Differents articles sur Naitre et Grandir : https://naitreetgrandir.com/fr/dossier/la-crise-des-2ans/

From Infant to Toddler: The So-Called « Terrible Two’s » : https://www.psychologytoday.com/intl/blog/great-kids-great-parents/201201/infant-toddler-the-so-called-terrible-twos

Tantrums : https://www.healthline.com/symptom/tantrums


4 réflexions sur “[#Psycho] Éducation positive, attention, ça va trancher chérie !

    1. C’est vrai, il faut aussi comprendre que dehors, ce n’est pas pareil qu’a la maison. Beaucoup de blog et articles parlent de cette bienveillance (éducation ou discipline positive) mais oublie de penser que cela vais rentrer l’enfant à la maison dans une bulle de bien être. On retrouve ce même problème dans les enfants qui sont chez des nounous, donc peu d’interaction avec d’autres enfants et groupes qui se retrouve à l’école un peu perdu car les interactions sont totalement différentes.

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  1. Merci d’être venu me rendre visite et d’avoir attiré mon attention sur votre concept de discipline positive. Au quotidien, c’est assez proche de ce que je vis avec mes enfants, en effet.
    Peut être connaissez vous déjà Agnès, mais si tel n’est pas le cas, je vous invite à la lire pour découvrir ce concept complémentaire et déculpabilisant qu’est la parentalité approximative. https://quatreenfants.com/2018/01/08/petit-manuel-deducation-approximative/
    Bonne journée,

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    1. Mais de rien, merci de votre commentaire, il est vrai que ce concept est peu parlé car comportant un coté discipline, ca fait peur aux adeptes de la cool attitude et pourtant tellement enrichissant quand on connait l’amour qu’ils ont pour l’autonomie de les laisser faire et comprendre les conséquences. Je vais regarder votre lien dans la soirée 🙂

      Aimé par 1 personne

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